Comprendre l’intra-générationnel de Mamie Lucette
Au commencement, un concept innovant
Nous espérons tous appréhender le grand âge de la meilleure des manières, entourés de ceux que nous aimons le plus au monde, épargnés de la solitude et de l’exclusion sociale. Certes, nous savons que notre déclin physique sera inéluctable mais nous chérissons l’espoir de fraternité. Continuer de rire, de donner, d’apprendre, de partager ou encore de dialoguer de nos passions avec l’autre.
Chez Mamie Lucette, nous avons la certitude que choisir ceux qui nous accompagneront dans cette période de vie est essentiel à notre bien-être, et à celle de nos proches.
Ainsi, nous pensons que ce chemin du bien vivre passe par tisser du lien social et, notamment, entre de jeunes séniors, à la recherchent d’un engagement reconnu et de grands séniors et leurs proches, à la recherchent d’un soutien contre l’isolement, d’une belle équipe qui les soulagent.
Souvent, l’expérience, la proximité de la génération, les mêmes valeurs, nous rassurent. Depuis longtemps, nous avons appris à choisir nos frères d’armes, nos confidents ou ceux qui pouvaient nous tenir la main ou nous soutenir. D’égal à égal. C’est L’intra-générationnel, le cœur battant de Mamie Lucette.
Vers l'histoire d'une rencontre
Le service proposé par Mamie Lucette est porté par une philosophie bienveillante, guidée par les choix de chacun, l’accompagnant et l’accompagné. Certes, il s’agit d’aide à la personne mais il s’agit aussi, et peut être avant tout, de remettre du lien social et humain dans nos rapports au grand âge. C’est pourquoi, le service se construit comme un réseau social et non comme une entreprise sans incarnation.
Il était une fois…
Une histoire de rencontre, comme celle de Lucienne avec Marthe. Lucienne a 83 ans, veuve depuis 2 ans. Elle souffrait de solitude et d’isolement social à Paris. Tristesse de ne pas pouvoir partager son goût de la littérature ou son envie de culture. Jacques, son fils unique, est son seul aidant en dehors de la sphère médicale. Pas facile aussi pour lui, pris dans le tourbillon de la vie active et l’éducation de ses deux adolescents.
Alors, Jacques, son fils a pris contact avec Alain, fondateur de Mamie Lucette.
Mamie Lucette a proposé une première rencontre avec Marthe, 65 ans. Egalement veuve, retraitée de l’éducation nationale en tant que professeur de dessin. Ce fut une connivence instantanée, « un match », diraient les petits-enfants de Lucienne et Marthe. Petit à petit, entre elles, sous le regard, jamais loin, de Mamie Lucette et de Jacques, s’est dessinée leur harmonie. Aujourd’hui, deux fois par semaine, Marthe retrouve Lucienne chez elle. Une heure trente pour vivre le présent et partager un moment de vie. Elles se sont trouvé une passion commune pour Camus, le chocolat noir avec le café et les peintres flamands. Elles parlent de visiter le Louvre ensemble ou de faire une petite ballade sur les bords de Seine. Peut être aussi que Marthe accompagnera Lucienne pour ses rendez-vous médicaux. Elles verront, ensemble, en toute liberté.
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